13 décembre 2003 - Fête de Noël de l'A.C.O.K.R

Encore une petite fête de Noël bien sympathique. C’est M. Bonnet, le papa d’Aurélie, Sandrine et Olivier (anciens élèves) qui nous a contactés par le biais de Geneviève Hoehlinger (membre du comité de basket).
Encore une fois nous avons donc pu sortir tous nos anciens numéros. J’ai même insisté pour replacer les Chevaliers qui ont une belle mise en scène.
A ce propos, il y a eu toute une affaire concernant les têtes de cheval. Les filles ne les trouvaient plus, malgré les recherches approfondies de leurs parents respectifs. Je n’arrivais pas à croire qu’elles aient pu les égarer. Et je pestais un peu : « J’aurais mieux fait de les stocker chez nous comme le reste ! ». Mais à l’époque, les filles y tenaient, c’est normal, c’est elles qui les avaient fabriqué avec l’aide de Brigitte Husson. Donc on avait convenu qu’elles les garderaient. Et j’étais donc persuadée que je ne pouvais absolument pas les avoir au grenier, si bien que je n’ai même pas cherché. Grosse erreur ! Pour une fois que j’étais sûre de mon affaire (d’habitude on me fait assez vite douter) je me trompais complètement.
C’est le soir après le spectacle, quand j’ai rangé le matériel au grenier, que j’ai tout à coup aperçu des languettes dépassants de sous un drap : les chevaux ! Ils étaient posés sur nos boîtes à guignols. Et oui, après une autre représentation de ces chevaliers, les filles avaient préféré me laisser les chevaux, ce dont je ne me souvenais vraiment plus. D’ailleurs ils n’étaient pas répertoriés dans mes fiches « costumes et accessoires ». J’ai vite réparé cet oubli. Le lendemain nous avions entrainement Troubadours et j’ai donc pu faire mes plus plates excuses à Delphine et Camille.
Ceci dit, même sans les têtes de cheval, ce numéro a eu un réel succès. M. Bonnet, à côté de moi à la sono, n’arrêtait pas de s’extasier. Il a d’ailleurs beaucoup apprécié en général. Ce qui lui a bien plu également, c’est le numéro du Violon tzigane : comme il m’en faisait part, je lui expliquais que c’était un peu un numéro fétiche puisque les filles qui sont à présent au lycée le présentaient déjà quand elles étaient en 6^e.
Et à force de discuter avec M. Bonnet, j’ai oublié de réenclencher la cassette pour la 2^e entrée de clowns. Nicolas attendait derrière le rideau et quand j’ai enfin capté les signes qu’Yves et lui me faisaient j’ai encore failli me tromper en lançant le numéro suivant. Heureusement au dernier moment j’ai tilté et réenclenché la musique des clowns. Bon ce fut ma seule petite erreur de sono. A croire qu’il en faut toujours une !
Sinon, tout s’est magnifiquement déroulé, dans un gymnase joliment arrangé et décoré d’un beau sapin. J’ai d’ailleurs fait quelques portraits dans Ameno de Pauline et Maeva à côté du sapin.
Le goûter était fort bon (gâteaux, bredele, vin chaud ou jus de fruits). Yves est parti avant moi parce qu’il fallait qu’il ramène le matériel avec M. Ferbach. Moi je suis encore restée un peu bavarder avec Mme Bonnet, puis Sandrine que je n’aurais pas reconnue … depuis le temps ! Aurélie, elle, n’était pas là (c’est d’elle dont je me souvenais le mieux, vu qu’elle faisait UNSS GRS. J’ai d’ailleurs donné une photo que j’avais de l’époque à M. Bonnet.
Puisqu’on est aux anciennes élèves, j’ai aussi été abordée vendredi, pendant la mise en place par Nathalie Wichtrey, élève des premières années.
Elle cherchait sa fille à l’école et me l’a présentée : elle fait du judo avec Mathieu et a fait un peu d’escalade avec Guillaume. La maman m’a d’ailleurs faite des compliments sur les garçons, disant qu’elle avait vraiment confiance quand elle leur confiait sa fille. Bon ça fait plaisir d’entendre ça !
Voilà, terminé pour aujourd’hui. A noter : encore un « cachet » pour les Troubadours de 200€.
Yves projette du coup de proposer à nouveau une soirée resto avec les jeunes et le comité … dans l’une des 3 pizzérias du papa d’Olivia Gross (qui nous a fait le bonne surprise de revenir à la rentrée : elle habite à nouveau à Brumath).